Comme promis je reviens avec un nouveau look au poil, inspiré par ma récente acquisition "soldesque" : la robe sixties à chats. Oui, je sais, j'ai failli à ma période de no-buy... Mais franchement, auriez-vous résisté devant pareille mignonnerie ? En plus, elle était soldée à 10€ alors que demandez de plus - non, non je ne me cherche pas d'excuses la la la... 

Dès que je l'ai aperçu, perdu entre les combi-shorts et robes de plage, j'ai tout de suite pris toute la mesure de son potentiel. Il faut dire, qu'à elle seule, elle combine tout ce que j'aime porter en ce moment ! Déjà c'est une robe - non, sans blague on ne l'avait pas remarqué !? -, elle arrive au-dessus du genoux et est assez fluide, sa coupe droite permet de se balader sans craindre une brise légère ou une bourrasque parce qu'après tout c'est le nooord... Et c'est une robe à imprimés chat ♥ 

Dans l'article Une tenue au poil ! je vous parlais déjà de mon amour pour ce motif, si je ne suis pas spécialement une fille à chat, puisque je leur préfère les chiens, je fonds littéralement devant leur représentation. Mug, trousse de toilettes, robe, pull, tees... en allant jusqu'aux mèmes internet ! Je suis une fille à imprimés chat, voilà c'est dit. 

Se suffisant à elle-même, je l'ai juste accessoirisé de mes bijoux phares du moment et accompagné de deux couleurs flashy, histoire de rehausser le tout et donner à ce look un côté pop ! On est en été ou on ne l'est pas ! Je sais pourtant que le combo orange et violet ne fait pas l'unanimité... Le orange fait d'ailleurs parti des couleurs les plus boudées d'après Pastoureau. Mais qu'importe ! 'cause obviously I'm odd (Cheshire cat song) ;) 

Robe chats soldé H&M (ancienne co)

Collant Calzedonia

Sac à dos Asos piqué à Mr. Narwhal (ancienne co)
Dr Martens Original basses en cuir verni (vues ici)
Collier Urban Outfitters (ancienne co)

Bague hibou (similaire ici)

Et vous, les imprimés "chat" vous oseriez ?

Combiner le violet & le orange ?

Dites-moi tout !

Scène extraite du film Confession d'une accro du shopping

Ça y est, nous y sommes ! J-1. Les soldes et leur bataillon de petits prix ne tarderont pas à passer à l'offensive pour le meilleur et pour le pire (surtout pour le pire dixit mon banquier). Préparez vos filtres anti-spams les amis, ces six prochaines semaines risquent d'être longues !

Etant au mois de juillet ce que les bouchons sont au 15 août, de véritables incontournables, les soldes ont le chic pour tomber aux périodes les plus inopportunes ! Je me demande à quel moment les têtes bien pensantes du marketing et du gouvernement ont cru bon de nous faire dépenser pile au moment où l'on n'avait le moins de sous. Bah oui, les soldes d'hiver ont généralement lieu après les fêtes, alors qu'on en aurait eu besoin avant, et les soldes d'été juste après qu'on ait payé la caution pour ces deux petites semaines en famille à Malo-les-Bains...

"Bon les gars, j'ai une idée... Pour relancer l'économie on va écouler les invendus au moment où les français ont le moins de thunes !" Tu parles d'un tableau... Si on appelle ça des invendus, c'est peut-être qu'il y a une raison non ?

Mais passons, je ne suis pas là pour vociférer et partager avec vous les frustrations d'une période de no-buy, mais bel et bien pour vous donner mes conseils pour solder malin. Histoire que vous vous battiez à armes égales. Parce que oui, les équipes marketing ont eu le temps de les voir venir, eux, les soldes... Vous occupant à coups de promo et fêtes commerciales en tout genre afin de vous détourner de leur stratégie. Voici donc mes bons conseils pour ne pas que vous perdiez un bras, deux jambes, dans la bataille ! Go go go !

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En janvier dernier, je vous annonçais fièrement ma résolution d'en finir avec les achats compulsifs, le but étant de rationaliser ma garde-robe. Exit l'achat coup de cœur qui passera les trois-quarts de sa vie de fringue à trôner dans ma penderie en attendant sagement l'occasion d'être de sortie ! En 2015, je pense ma garde-robe !

Photo extraite du film Confession d'une accro du shopping via Allociné

Et penser sa garde-robe, en période de soldes, passe indubitablement par un tri ! Un tri en amont, sur ce que je garde ou non.
Pour ma part, je fais souvent deux piles : ce que j'ai porté ces 3 derniers mois et ce que je n'ai pas porté. Et après, je procède à une deuxième vague de tri en mettant d'un côté ce que je n'ai pas porté pour des questions de saisonnalité et d'un autre par manque d'occasion.
Dans ce dernier tas, car je ne peux généralement me résoudre à tout bazarder, je procède ainsi à un sauvetage de la dernière chance. Si ces rescapés ne sont pas portés dans les 3 prochains mois, je les envoie gentiment valser sans qu'ils puissent demander leur reste.

Outre le fait de libérer de la place, ce tri peut également vous permettre de renflouer vos caisses pour de futures acquisitions "soldesques" grâce aux vide-dressing online et autres marchés de seconde main.

Mais cela passe également par un tri en aval, juste avant de dégainer la carte bleue, histoire d'éviter à votre banquier - au chéri, ou les deux - de faire une attaque ! Le but étant de se poser les bonnes questions et non de se convaincre qu'il nous faut absolument ce énième top en dentelle qui irait tellement bien avec cette jupe et cette paire de sandales soldé à moins cinquante. Rationalisation !

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2/ Faites-vous une liste !

N'hésitez pas à lister vos besoins ! Qu'on le veuille ou non, il y a des incontournables : du maillot de bain, pour patauger à Malo-les-Bains, en allant aux mythiques slips-chaussettes, pour remplacer ceux qu'on a dû jeter. Dresser la liste de ces besoins vous permettra de rester maître de votre budget et éviter l'effet "coup de cœur". A moins que vous ayez une passion pour les chaussettes à fleurs... Hashtag, je n'assume pas mes lubies !

De plus, cela vous permettra d'être plus efficace le jour J. Car il n'y a rien de pire que faire des soldes quand on ne sait pas ce qu'on cherche... C'est un coup à revenir avec des chaussettes rouges et jaunes à petits pois (non, je n'en ai pas marre des blagues vaseuses).

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Idéal pour éviter la cohue devant les grilles des magasins, les soldes en ligne nous sauvent de bien des désagréments. Au revoir queues, bousculades et cacophonie ambiante et bonjour calme, sérénité et anticipation ! Car oui, celles-ci, vous pouvez les anticiper ! 

Si les prix des articles ne sont pas connus à l'avance, vous avez néanmoins la possibilité, grâce aux cookies, d'enregistrer ces derniers sur votre wishlist et/ou panier afin de n'avoir plus qu'à checker le prix le jour J ! Et si la remise est à la hauteur de vos espérances, plus qu'à passer commande : le pied :) Ainsi, vous pouvez rationaliser vos achats et éviter les achats compulsifs, en suivant votre liste de près, et gérer votre budget tout en restant vautré dans votre canapé ! Alors, que demande le peuple ?

Le seul hic, c'est que vous n'avez pas la possibilité d'essayer ! Ainsi, je vous conseille de privilégier les sites, à l'instar d'Asos, où les retours sont gratuits ou encore ceux où vous avez la possibilité de retourner les produits en magasin, comme Cache-Cache ou New Look. Cela vous évitera d'être trop déçue en cas de plantage monumentale ! Oui, il n'y a rien de pire (bon, j'extrapole !) que la frustration d'avoir perdu des sous en voulant faire une affaire...

Puis, dites-vous qu'au pire c'est bien peu de chose comparé aux frais de blanchisserie que vous allez économiser ! Bah oui, ça ne vous est jamais arrivé de vous retrouver avec un chemisier blanc orné d'un joli collier de fond de teint orangé ?!

Souvent occultés par les médias dans leurs chroniques pro-soldes, les sites de cashback ne sont toutefois pas à négliger. Véritables mines d'or en matière d'affaire et de rabais, ces sites vous permettent de réaliser des économies sur vos achats, sur le principe du partage des commissions. Oui, oui ! Vous m'avez bien comprise, vous gagnez à dépenser. Pas de rabais ou de vulgaires codes promotionnels à valoir sur vos prochains achats, mais de la monnaie sonnante et trébuchante ! Ainsi, sur un article soldé 30€, vous pouvez gagner jusqu'à 4€ de cashback selon les sites de e-commerce, avec parfois la livraison en prime ! 

Il existe bien évidemment de nombreux sites de cashback, plus ou moins fiables, pour ma part j'utilise iGraal. Si le service n'est pas parfait avec des délais de validation un peu longuet, je n'ai jamais eu à m'en plaindre. De plus, il propose une barre d'outils pour ne pas avoir à changer de site pour effectuer son achat et avoir accès en temps réel à nos réductions et codes promos potentiels. 

Ainsi, sur un peu plus de 6 mois d'inscription, j'ai pu économiser la modique somme de 40€. Une bagatelle me direz-vous, mais lorsqu'on sait que pour ça je n'ai eu qu'à cliquer sur une icône, on relativise :) 

D'ailleurs, si vous êtes intéressé par le service et souhaitez être parrainé, n'hésitez pas à vous inscrire via le lien suivant : iGraal. Pour toute inscription, vous recevrez un cadeau de bienvenue d'une valeur de 3€. C'est peu, mais c'est toujours ça de prix ! Surtout en période de soldes ;)

Enfin, souvenez-vous que vous ne jouez pas votre vie pendant cette période et ce n'est pas grave si pour dieu sait quelle raison vous ne parvenez à dégoter l'affaire du siècle. J'ai toujours une légère sueur froide lorsque je vois ces vidéos de lancement de soldes sur Koreus où les femmes n'hésitent pas à se piétiner et jouer des coudes. J'aime à penser que ce comportement est propre aux Etats-Unis, mais des vendeuses m'ont soutenu le contraire. Donc, calm down !

Ne prenez pas l'excuse de vous être levé aux aurores pour oublier votre sens de la courtoisie et de la politesse. Vous êtes fatigué, saoulé par le monde ? Les vendeuses aussi. Les bonjour, merci, au revoir et autres marques de politesse sont donc de rigueur.

Un article ne vous plait plus, vous vous y êtes repris à deux-fois et souhaitez vous délester de quelques articles ? Laissez-les à une vendeuse au lieu de les cacher ou les laisser dans un coin en rayon. Véridique ! Vous n'avez qu'à aller à Primark, c'est la bérézina. Vous risqueriez d’abîmer l'article et d'empêcher une acheteuse potentielle de faire l'affaire du siècle. De plus, n'oubliez pas qu'une vendeuse choyée sera plus encline à vous faciliter la vie qu'une vendeuse en furie ;) 

Sur ce, je vous souhaite de bonnes soldes mes narwhals ! Pour ma part, je retourne me barricader dans ma grotte à l’abri de toutes tentations, période de no-buy oblige !

Des bisous mes licornes des mers !

Le mois dernier, j'ai découvert avec surprise que l'adorable Lilith Moon s'était inspirée du hawk de Kiesza pour un de ses tutos. Vous connaissez mon amour pour cette coiffure ; je n'ai donc pas pu résister à l'appel mohawk et l'envie de vous concocter un petit look autour de cette coiffure.

Plus technique que celles que j'ai l'habitude de réaliser, mais également plus dure à assumer car clairement orientée rock/néo-punk, cette coiffure iroquoise m'a valu quelques regards de travers. Je pense même avoir réussi à effrayer quelques mamies, c'est dire. C'est pourquoi je le recommanderais davantage pour des occasions spéciales, à moins que le regard interloqué des passants ne vous fasse ni chaud ni froid. 

C'est malheureux, dès qu'on se permet la moindre excentricité, on est tout de suite dévisagé dans la rue. J'ai l'impression que cette attitude est très franco-française. Bon, je ne voyage pas assez pour le certifier, mais je ne sais pas... Le simple fait de traverser la frontière franco-belge change la donne.

Nous ne sommes pourtant pas des objets de curiosité ! C'est tout de même fou de vivre dans le berceau de la mode et de devoir se contenter de la suivre bêtement. De faire attention à ne pas faire de vague, d'être obligé de se ranger du côté des suiveurs et non des prescripteurs. J'envie un peu les anglais pour ça. Ils peuvent tout se permettre ou presque.

D'ailleurs la belle Léopoldine, du blog Cannibalecore, a fait un article intéressant à ce sujet : Dans la peau d'une nana tatouée et aux cheveux colorés. Elle y raconte son quotidien, ce qu'elle endure tous les jours dans la rue, etc. Le bilan est assez consternant. A croire qu'avoir une personnalité, aujourd'hui en France, dérange.

Mais au fond qu'importe si cela dérange. Il y aura malheureusement toujours des gens qui trouveront des choses à redire. Tant qu'on se plait et qu'on se sent bien dans ses baskets, ou dans sa vieille paire de Doc... C'est le principal ! 

Je me suis donc sentie fichtrement bien dans ma petite combishort étoilée Asos. Bon, s'il ne faisait pas encore assez chaud pour que je fasse tomber les collants, je me suis tout de même autorisée une petite folie et j'ai laissé le gilet au placard. Une vraie rebelle !

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Si jamais, tout comme moi, vous êtes une vraie rebelle du veuch', voici le tuto de Lilith.

Prière de déranger ;)

Et encore, c'est un euphémisme. Je n'ai pas aimé ça, j'ai adoré. Il faut dire que ça m'avait foutrement manqué. Partager avec vous mes petites découvertes, mes dernières trouvailles, mes trucs et astuces... A chaque fois que je me faisais une coiffure ou que je concoctais une tenue... Je pensais à vous, aux réactions potentielles ! Mais comme souvent, j'abdiquais en me disant que non Pierre, Paul et Jacques le feraient probablement mieux que moi, auraient les photos qu'il faut... Tout ça tout ça. Bref, autant de faux prétexte qui me poussait à être dans l'introversion plutôt que dans le partage. C'est fou ça, cette manie qu'on peut avoir de toujours se comparer, se dévaloriser... Je regarde des vidéos imparfaites de youtubeuses imparfaites, mais il n'y a pas... Dès lors qu'il s'agit de mon travail, il faut que tout soit carré, au millimètre prêt ! Cela en devenait maladif !

Le plus est l'ennemi du bien. Et oui, il m'aura fallu vingt-cinq longues années pour m'en rendre compte... Mais bon, mieux vaut tard que jamais non ? 

Du coup je reviens, tel le fils prodigue, avec mon blog, mon fourre-tout numérique à moi, parfaitement imparfait. Mais cette fois je ne viens plus à reculons, la boule au ventre, en me demandant ce qu'auraient bien pu faire Pierre, Paul ou Jacques. Car au final, on s'en cogne. Ce qui compte c'est vous, c'est nous ! Ce qu'on vit, ce moment de partage rien qu'à nous ♥

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Un an après tout le monde, voilà que je découvre la chaîne Good Monique.

Animée par trois comédiennes de talents (Marjorie Le Noan, Juliette Tresanini et Audrey Pirault pour ne point les nommer), Good Monique se moque de tout et surtout de nous. Partant du postulat que nous sommes tous des Moniques en puissance qui ont parfois besoin d'aller un peu trop loin, Good Monique fait preuve d'outrecuidance, outrepassant les limites du politiquement correct pour le meilleur et pour le rire !

Ces trublions du web chatouillent ainsi les zones sensibles en abordant des thèmes tels que les addictions, le racisme ou encore l'administration française. Sans méchanceté aucune, les Good Moniques sont un véritable shot de bonne humeur et de déconne. Et dieu que c'est bon !

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Période de no buy oblige, je ne peux que baver devant cette nouvelle collaboration entre Vans et Disney pour la ligne Young at Heart. Toutes les princesses des grands films d'animation, ou presque, font leur apparition sur la célébrissime paire de Vans, mais également sur une ligne de vêtement haute en couleur. 

Tentez par une de ces petites merveilles ? La ligne est disponible en taille enfant et adulte (HOURRA !) dans les boutiques de la marque et sur l'e-shop !

Personnellement, si j'avais pu craquer, j'aurais opté pour la paire de Vans avec toutes les princesses. Malheureusement, cette dernière semble introuvable sur le site français. Mais pas de panique, il reste celles avec La Petite Sirène ;)

Jeudi dernier avait lieu la soirée blogueurs On prend un café, l'occasion pour moi de passer du virtuel au réel et rencontrer ces plumes que j'aime tant lire :) L'agence nous avait donné rendez-vous Colonne de la déesse (aka la Grand Place pour les lillois) pour un mini jeu de piste afin de débusquer le lieu où nous passerions les trois prochaines heures.

Trois indices plus tard (dont un sur le canon transformé en sein de l'estaminet Morel et Fils) nous voici devant l'enseigne Coffea !

Inconnu au bataillon, je pénètre dans ce temple du « Cahouah » et là, stupéfaction. En plus de proposer une gamme de café à faire pâlir Nespresso et consort, Coffea propose également une large gamme de thé. Là forcément, la folle de thé que je suis tente désespérément de contenir sa joie. « Du sang neuf ! » pensais-je. Il faut dire que depuis 4 ans que j'habite sur Lille, j'avais un peu fait le tour de toutes les boutiques spécialisées et tisaneries...

C'est donc sans surprise que je saute sur l'occasion pour goûter l'un de leur délicieux thé frappé glacé lorsque Nicolas, le responsable de la boutique, s'enquiert de ce que je souhaite boire.
Bah oui, j'aurais bien goûté un de leur thé chaud, mais par 26°, l'appel de la fraîcheur a eu raison de moi. Et c'est tant mieux !

Quelques rencontres et discussions plus tard, je me prête au jeu de la dégustation à l'aveugle. Et que dire, si ce n'est que mes papilles n'étaient franchement pas préparées à ça ! Si leur choix de thé est déjà fou, attendez de voir leurs produits. Chocolat, gaufres, biscuits confitures... Il y en a pour tous les goûts et de toutes les couleurs !

Plein de jolies rencontres et de chouettes découvertes hier à la soirée blogueurs @onprenduncafe chez @CoffeaFr. Ps. leur chocolat est à tomber ;) #BlogoLille #op1c #CoffeaFr #keepsharing

Une photo publiée par Amélie (@blogmissnarwhal) le 12 Juin 2015 à 9h34 PDT

Personnellement j'ai eu un énorme coup de cœur pour leurs raisins secs enrobés de chocolat noir et leur chocolat au jasmin. Et pourtant, je n'aime pas les raisins secs... C'est dire !

Franchement, c'est une adresse que je vous recommande chaudement que ce soit pour siroter un verre entre amis (ils ont un espace restauration et attendent les autorisations pour une terrasse), faire un cadeau ou encore vous ravitailler en thé, café ou douceurs en tout genre. D'ailleurs, la boutique possède son propre torréfacteur ! En vingt minutes, vous pouvez repartir avec le café moulu de votre choix. Alors, que demander de plus ?

Personnellement, je pense en faire mon nouveau QG pour pallier aux froides journées d'hiver :) Et vous ?

Oui oui, cette weekly list est bel et bien sous le signe de la gourmandise et de la régression. Et quoi de plus gourmand qu'une bonne lampée de houmous sur un crackers, franchement ?

Véritable bec salé, je ne rate jamais une occasion de prendre l'apéro. Evidemment, je ne consomme pas de l'alcool tous les jours. Toutefois qui a dit qu'un apéro devait forcément s'accompagner d'un verre ?

Si, pour le commun des mortels, l'apéro est synonyme d'alcool, de partage et de convivialité ; il est surtout synonyme pour moi de douceurs salés. Si je ne suis pas contre un carré de chocolat de temps à autre ou une part de gâteau à l'occasion... Je ne résiste pas à l'appel du sel ! Saucisson, dips, crackers, fruits à coques, chips... Qu'importe pourvu que ce soit salé. Cela en est presque inquiétant !

C'est presque si je ne regrette pas la fin d'un repas d'anniversaire, pensant avec nostalgie à l'apéro. Si bien que, plus jeune, ma mère prit le pli me proposant des apéros dinatoires pour mon plus grand bonheur.

Malheureusement qui dit apéro, dit sel et dit gras. On a rarement vu des apéros healthy et si les légumes crus le sont, les sauces dans lesquelles on les trempe le sont beaucoup moins. Heureusement, j'ai trouvé une parade : le houmous.

Il s'agit, en effet, d'un des accompagnements les plus healthy que je connaisse. Bon évidemment, c'est comme tout, il faut le consommer avec modération.

Voici donc ma recette pour un petit houmous home made capable de régaler 6 convives :)

Ingrédients : 400g de pois chiches égouttés - le jus de 2 citrons - de la coriandre - du sel - du poivre - 15cl d'huile d'olive - 3 gousses d'ail - 100g de crème de sésame.

Mélanger le tout dans un blender, mixer, réserver 2 heures au frigo et tadaaaam, c'est déjà terminé !

Have a nice week my lovely narwhals !

Comme vous avez pu le remarquer au fil des articles, j'ai doucement basculé vers le côté blond de la force. Après une coloration rousse (blond vénitien) qui ne plaisait qu'à moi (il faut l'avouer), j'ai décidé de réaliser un rêve de gosse et devenir blonde. A moi la crinière de princesse !

Enfin, c'est ce que je pensais... On est naïve ou on ne l'est pas ! C'est ainsi que je me suis pointée tout sourire dans mon salon de coiffure habituel avec l'envie dantesque d'éclaircir ma chevelure.

Je me suis, bien entendu, faite rembarrée en bonne et due forme. C'est qu'on ne passe pas du roux au blond aussi facilement ma bonne dame. Paraîtrait même que les reflets roux sont les plus durs à enlever.

Je suis donc rentrée chez moi avec une coloration un poil plus foncée que ma couleur naturelle. Déçue, je vivais sans le savoir les premières déconvenues du blond. Mais le parcours du combattant ne faisait que commencer !

Un peu lasse de ma nouvelle coloration, je parcourais le web en quête de solution miracle pour éclaircir ma tignasse. Evidemment, chaque article se contredisait (sinon, ça aurait été trop simple). Certain prônait le 100% naturel via des shampoings à base de camomille tandis que d'autre vantait les mérites des sprays éclaircissant. Ne sachant trop à quel saint me vouer, je pris la décision de suivre la méthode qui semblait avoir les résultats les plus probants : le spray éclaircissant. Là aussi, un large panel de produits s'offrait à moi. A l’approche de l’été, toutes les marques semblaient s’être liguées pour me rendre la vie impossible. Elles s’étaient, en effet, passées le mot pour sortir au même moment leur gamme « soleil ». Une vraie coalition !

Ainsi, après un bon pétage de câble et quelques heures à sillonner le web en tâchant de distinguer le vrai du faux, j’optais pour le spray éclaircissant thermo-réactif John Frieda. A 12€ les 3 utilisations pour cheveux longs ; j’attendais énormément de ce produit. Et contre toute attente, je ne fus pas déçue ! Le produit tenait ses promesses et éclaircissait ma crinière de sirène sans pour autant la dézinguer. Bien sûr, il va de soi qu’une telle routine doit être accompagnée d’une armada de soin ! Shampoing ultra doux sans oxydant, beurre de karité, huile naturelle... J’en passe et des meilleurs. 

Trois flacons plus tard, je gagnais 3 tons sur ma couleur naturelle. VICTOIRE ! Et une cinquantaine d’euros de coiffeur économisée, une ! Toutefois, quelques reflets roux disgracieux avaient élu domicile sur ma chère tête blonde. N’étant pas sectaire, je décidais de leur laisser vivre leur petite vie de reflets roux en attendant mon prochain rendez-vous chez le coiffeur.

Le jour tant attendu arriva, mon premier balayage. Enfin, premier... J’avais déjà fait subir moult balayage à ma crinière de poney, mais c’était avant de les avoir coloré.

Il faut savoir qu’une fois que vous passez par la case coloration, c’est un aller sans retour. Bon, j’extrapole un peu. Vous pourrez toujours attendre que vos cheveux repoussent et couper toute la partie colorée, mais il vous faudra de la patience. Beaucoup de patience ! Et si, c’est là une de vos grandes qualités, je vous jalouse en secret.

En bonne impatiente que je suis, je n’ai pas attendu que mes cheveux poussent pour les couper. C’est même tout le contraire puisque, comme je vous le disais plus haut, je me suis précipitée sur les premiers produits éclaircissants que j’ai trouvé. Occultant ainsi le fait que je venais tout juste de faire subir à mes cheveux une énième colo !

Et le hic, c’est que si on sait comment réagi un cheveu sain à une déco, il n’en est pas de même pour un cheveu coloré. On ne sait jamais si ce dernier va prendre et surtout à quel degré il va prendre.

Certains coiffeurs vous coupent une mèche et teste la colo au préalable, mais qu’on se le dise ces derniers sont plutôt rares. Pour dire, en près de 25 ans d’aventure capilotractée, il n’y a pas un magnat du ciseau qui me l’ait proposé !

Nerveuse, je me rendais donc à mon premier balayage. Je connaissais le salon, malheureusement la coloriste qui s’était occupée de ma transformation « rousse » avait pris la clé des champs... Je remis donc mes cheveux et leur destin entre les mains d’une nouvelle coiffeuse.

Fort heureusement, le feeling est tout de suite passé. Elle a compris ce que je voulais, à savoir éviter l’effet racine et surtout éclaircir en douceur. C’est ainsi qu’elle opta pour un balayage au peigne avec une patine cendrée pour expulser les vilains reflets.

Si le résultat me satisfaisait, je savais qu’il me faudrait plus d’un balayage pour obtenir l’effet escompté. C’est ainsi que, 6 mois plus tard, lorsque mon balayage ressemblait plus à un tie & dye qu'autre chose, je franchissais de nouveau les portes du salon.

180€ plus tard, j’obtenais un blond plus ou moins uniforme. J’étais loin d’avoir la crinière de Marylin Monroe, mais je m’en approchais. Puis je n’avais plus ces vilains reflets roux et ça, rien que pour ça, j’étais comblée.

Puis il y eut l’éclaircissement de trop ! Éternelle insatisfaite, je souhaitais encore gagner un ou deux tons pour approcher du blond BB qui me faisait tant rêver. Mais étant sans ressource, je ne pouvais me permettre de faire appel à mon coloriste habituel. C’est ainsi que je me suis rabattue sur une jeune coiffeuse à domicile. Si sur le moment je fus pleinement satisfaite de ses services, c’est le lendemain que je pris conscience de l’ampleur des dégâts. En réalité mes cheveux n’étaient pas blonds, mais complètement dévitalisés...

Au premier coup de Tangle Teezer, ce n’est pas moins de trois mèches qui se retrouvèrent prises au piège dans les picots fuchsias de ma brosse. Malédiction !

L’oxydant avait posé trop longtemps. Le fait que mes cheveux suintes sur mon peignoir de protection aurait du me mettre la puce à l’oreille. Ce n’était pourtant pas faute d’avoir prévenu la coiffeuse que mes cheveux prenaient plutôt bien la déco.

C’est ainsi que je me retrouvais avec une coupe parfaitement asymétrique. Enfin... Je suis mauvais langue ! Par chance, les mèches qui avaient pris la poudre d’escampette n’étaient autre que celles des tempes et quelques petits cheveux de derrière. Rien d’insurmontable.

Je pris la résolution de ne plus toucher à ma crinière pendant un moment, le temps que mes cheveux reprennent du poil de la bête et ne soient plus élastiques. Exit le sèche-cheveux et les élastiques ! Je devais laisser mes cheveux vivre leur vie de cheveux rabougris, aller où bon leur semblait... Il faut dire que je les avais assez contrariés comme ça. Inutile d’en rajouter !

Aujourd'hui, je suis blonde. C'est un fait. Toutefois, j'admets y avoir laissé des plumes... Que ce soit sur le plan capillaire ou financier.

N'est pas blonde qui veut ! S'éclaircir la crinière n'est en effet pas à la portée de toutes les bourses. Car si la transformation vous mangera une bonne partie de votre budget, l'entretien, lui, le réduira en cendre. Et oui, le blond fait parti de ces couleurs compliquées à garder ! Il faudra le chouchouter de sorte à ce qu'il ne tourne ni au vert (sos, j'ai pataugé trop longtemps dans la piscine ! Hello) ni au jaune, reprenne consistance en usant et abusant de soin, etc.
De plus, il faudra reprendre les racines tous les 3 à 6 mois si vous partez d'une base « blond foncé » comme moi, voire tous les mois pour les bruns et brunes.


Bref, on l'aura compris le blond c'est « budgetivore » ! Toutefois, je ne regrette pas mon choix. Je ne me suis jamais aussi bien sentie dans mes baskets qu'en étant blonde. C'est comme si j'avais trouvé ma voie capillaire. Bon, dit comme ça, ça parait un peu nunuche... Mais c'est l'idée !
Je ne dis pas que je resterais comme ça toute ma vie, loin de là. La preuve, il est question que j'éclaircisse encore davantage pour tenter le blond platine. Car si j'ai trouvé ma voie, il n'est pas exclu que je cherche ma nuance. 50 nuances de blond, bientôt dans vos salles...
Mais comme pour mon passage de châtain à blonde, je compte y aller crescendo de sorte à ne pas tuer ma fibre capillaire et surtout pouvoir m'arrêter à la nuance souhaitée. C'est d'ailleurs selon moi, la chose la plus judicieuse à faire. Car si mon cheveu ( épais par nature) n'a pas survécu à des mèches, je n'ose même pas imaginer le résultat sur une brune colorée aux cheveux fins... Allez-y donc progressivement ;)

Bon, sur ce, je crois que j'ai fait le tour de ma transformation et mon passage de châtain à blond. Dans les prochains articles, je m'attarderai davantage sur l'entretien du blond et les différents produits que j'ai pu tester dans ma quête du blond parfait.

Comme vous le savez surement si vous me suivez sur les réseaux sociaux, mon blog s'est offert une seconde jeunesse. C'est qu'il en avait sacrément besoin le bougre ! Entre le logo qui n'en était pas un, le thème qui était difficilement personnalisable et le design qui se voulait faussement responsive... Bref, autant de couacs qui m'obligeaient à passer plus de temps sur la forme que sur le fond de mon blog. Or, même si j'aime coder et jouer à l'apprenti graphiste, je suis blogueuse (et pas web-designer). C'est pourquoi, j'ai décidé de faire peau neuve et repartir de zéro avec ce nouveau chez moi !

Je vous souhaite donc la bienvenue dans ma nouvelle maison virtuelle ! J'espère que vous vous y plairez autant que je m'y plais. Et oui, j'avais à peine fini de poser la dernière balise que je l'avais déjà adopté ! Elle se veut plus simple et surtout plus vrai. Bref, du Miss Narwhal tout craché adapté aux filles girly comme aux garçons trendy ;)

Ça vous dit un petit tour du propriétaire ? 

Avec un logo qui se veut plus doux, plus frais et surtout plus affirmé. Adieu le sempiternelle bleu slash tchip slash criard d'antan et bonjour couleur mint et pastel :)  

Et oui, maintenant vous pourrez suivre l'actualité de Miss Narwhal où que vous soyez et surtout où que vous vous connectiez ! Tablette, ordi, smartphone, tv... Vous avez l’embarras du choix !

Adapté pour la lecture sur tablette et smartphone, ce nouveau design se veut plus clair, facile d'accès et moins fouillis. Vous n'aurez plus à zoomer pour lire les articles ou encore tourner pendant 107 ans pour pouvoir suivre mes aventures sur les réseaux sociaux... Véridique !

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Vous savez, celle-là :


C'est gratuit, mensuel et vous pouvez vous désabonner si vous vous en tamponnez ! Alors que demande le peuple ;)

Jusqu'à présent je postais un peu quand cela me chantait et bon nombre d'articles et de looks atterrissaient dans mes brouillons, sans jamais être posté. En bonne perfectionniste, je retardais sans cesse l'échéance en me disant qu'il y avait toujours un petit quelque chose à améliorer... Or, je m'engage désormais à publier un à deux articles par semaine, les lundi et jeudi. Si j'arrive à respecter ce nouveau rythme de publication, je pourrais à l'occasion l'étendre à trois, avec une publication de ma weekly list du dimanche ou encore de quelques extras pour bien démarrer le weekend. Mais je préfère m'en tenir au début à une cadence réduite et tâcher de m'y tenir que de m'embarquer dans une usine à gaz et finalement laisser tomber. 

Vous pourrez donc suivre mes aventures les lundis et jeudis #staytunned

Et oui, obligation légale oblige, j'ai dû réveiller la juriste qui sommeille en moi pour vous mijoter des mentions légales aux petits oignons. Bon, en réalité, j'ai surtout joué les « stalker » et observé comment les grands procédaient... Mais bon, il n'y a pas de mal à s'en inspirer. 

D'ailleurs, vous pourrez également remarquer - si ce n'est pas déjà fait - l'arrivée d'un bandeau « Cookies ». Là aussi, il s'agit d'une obligation légale. Tout blog utilisant Google Analytics ou toute autre application nécessitant l'intervention des fameux cookies se doit de le clamer haut et fort via ce bandeau. Donc si vous n'aimez pas les cookies (pas ceux de Subway hein, les autres !), fuyez pauvre fouuuuuuu !!!

Et oui, c'est la grande nouveauté de cette version 3.0, Miss Narwhal se jette à l'eau et créée sa chaîne YouTube. On y parlera fripes, beauté, mais surtout lifestyle avec un programme court dédié aux tests, où je tacherai de tester pour vous de nouvelles pratiques et styles de vie en vous donnant à chaud mes réactions et mon ressenti. Bon, tout ça est encore en chantier, mais cela ne devrait pas tarder à débarquer ;)